Broderie sur bois ou comment customiser sans dépenser des fortunes

Bonsoir les amis,

comment allez-vous ? Il fait un poil frisquet depuis quelques temps, non ? Du coup, j’ai eu envie d’une ambiance un peu cosy et d’un DIY inédit (pour moi hein, je parle toujours de ma pomme, vous l’aurez compris). Si vous me suivez sur les réseaux sociaux (et si ce n’est pas le cas, je vous encourage à le faire, hihihi), vous savez que Créavéa organisait un concours créatif ouvert à tous. Je précise que ce concours est désormais clos (les résultats seront connus demain, je croise les doigts, les orteils, je trépigne, j’espère, même si je me dis que j’ai très peu de chances de remporter le premier prix).

Je vous présente aujourd’hui ma participation : une broderie sur bois et une petite peinture façon origami qui m’ont permis de customiser une caisse à vins que j’ai depuis des années. J’ai pendant une période recherché des caisses à vins pour mon projet d’étagères murales spéciales wawa. Le temps que ma maman vienne à la maison, j’avais déjà trouvé mon bonheur  et dans l’attente de lui trouver une utilité, j’ai donc mis de côté la petite caisse qu’elle avait déniché pour moi.

caisse customisée par le bazar de milipuce

La broderie sur bois me faisait envie depuis quelques temps mais je n’avais pas de projet concret jusqu’à ce fameux concours. Comme d’hab avec moi, un truc qui prend la poussière, un besoin existentiel et paf, un DIY.

Donc voici voilà, la procédure selon moi pour customiser une caisse en bois en deux temps et quelques mouvements (peut-être est-ce la bonne, peut-être en existe-t-il une meilleure ?) :


De quoi qu’on a besoin ?



Matériel pour la broderie sur bois


  • un support en bois,
  • une perceuse avec un foret à bois (et chargée si elle est sans fil ! parce que la mienne était à plat donc grosse frustration en attendant la charge),
  • du fil (ici de la laine de récupération),
  • des ciseaux
  • une aiguille à laine
  • un modèle

Matériel pour la peinture façon origami


  • du papier carbone
  • un modèle
  • un crayon de papier
  • une règle
  • de la peinture (ici de la chalky!!!) et un pinceau
  • un feutre (ici un posca)
  • du scotch de masquage

Comment qu’on fait, donc ?



Pour la broderie :


  • scotcher le modèle sur le support en bois
  • pré-percer les trous au niveau des croisements
  • percer
  • tracer les traits entre les différents trous en suivant le modèle
  • passer le fil dans les trous à l’aide de l’aiguille
  • effacer les traits si besoin

Pour la peinture :


  • reproduire le modèle sur le support à l’aide du papier carbone (utiliser une règle si besoin)
  • si vous souhaitez peindre l’extérieur, utilisez le scotch pour délimiter les contours du dessin
  • appliquer plusieurs couches de peinture selon l’effet souhaité
  • à l’aide du feutre, tracer les contours

 

J’ai compliqué un peu l’étape du tissage en utilisant une laine de mon stock qui comme vous pouvez le constater comporte de petites boules. Après quelques passages dans un même trou, la laine pouvait avoir un peu plus de mal à passer. Mais l’effet étant joli, j’ai pris mon mal en patience.

le bazar de milipuce cutso caisse à vins

grimm ce relou

Et le chaton trop mignon et trop relou, c’est cadeau !

Bonne soirée

Des bisous, des pensées positives, de la motivation et à bientôt !

Ma pochette en coton et en jean : crochet, couture et upcycling

Bonjour bonjour !

je pousse un grand ouf de soulagement. Après mes essais couture de la semaine passée qui se sont soldés par la mort de ma vieille Singer, j’ai pris mon courage à deux mains pour finir une pochette commencée il y a déjà quelques semaines.

Je vous montre tout de suite le résultat de mes heures de labeur.

pochette le bazar de milipuce 2.jpg

 

Tout est parti d’un post de l’instagrameuse Toulouzen sur lequel elle arborait une jolie pochette de la marque Mango.

pochette mango

Mon petit cœur a fait « badaboum boum boum » et mon cerveau mal câblé a décrété : « tu la veux, tu la fabriques ! ».

J’ai donc repris le coton beige donné par ma mémé et j’ai crocheté un rectangle de 33 cm sur 60 cm. Pour la bordure, j’ai utilisé un vieux jean qui n’avait pas résisté à ma prise de poids (voir mes bonnes résolutions en cliquant ici).

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Et là les complications sont arrivées !

Pour la découpe et la préparation des morceaux, j’ai géré. En revanche, la couture avec ma vieille machine… euh… bah elle est mouru alors pas besoin de vous faire un dessin. Bien sûr, j’accuse le chien qui a levé la patte sur la machine mais bon je pense surtout que je me suis entêtée à vouloir faire, mes neurones frôlant régulièrement la surchauffe. Au final, c’est ma pauvre Singer qui a grillé et qui a empesté toute la maison. A ma décharge, j’ai suivi les instructions du livret pour placer la cannette. Une collègue experte en couture m’a ensuite montré comment faire et cela ne correspondait pas du tout aux explications fournies. Bref, la prochaine fois, je serai moins têtue, moins fière et surtout plus maline : je demanderai à quelqu’un (même principe que lorsque vous êtes perdus et que votre homme refuse de demander son chemin !).

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Bon, j’ai réussi à utiliser la mac du boulot pour coudre les deux bordures (j’ai fini rouge écarlate, en sueur et la mac était toujours en vie à la fin!). Ensuite, j’ai tout fait à la main ce qui m’a pris la matinée (soit 4 bonnes heures).

J’ai doublé la pochette en utilisant un torchon blanc (le seul du placard qui n’était pas taché ou troué).

 

 

Côté procédure, je ne sais pas si ma façon de faire est correcte mais j’ai essayé d’être logique.

J’ai positionné la bordure en jean, cousu les côtés de la doublure que j’ai ensuite fixée sous la bordure, j’ai cousu la bordure en jean et le corps de la pochette ensemble puis j’ai refermé les côtés. J’ai essayé de coudre de manière invisible. Les finitions ne sont pas parfaites mais pour une première, je suis plutôt satisfaite.

couture pochette le bazar de milipuce.jpg

Comme un signe du destin, Créavéa et We are knitters organisent jusqu’au 30 septembre un concours Facebook sur le thème « sac et customisation ». Ma pochette était déjà en cours et je me suis dit que j’allais participer, les lots étant vraiment intéressants. Il me restait juste à trouver une idée de customisation sympa.

 

pochette customisée créavéa we are knitters 2

J’ai repris l’idée de mes broches duo réalisées dans le cadre du challenge plastique dingue et j’ai simplement remplacé la pelote en plastique par une vraie mini-pelote.

Reste à croiser les doigts !

Et comme plus on est de fous plus on rit, je vous conseille de faire un tour sur la page Facebook de Créavéa pour connaître les modalités de participation ou pour découvrir les créations. Le concours est accessible à tous, il suffit d’aimer les pages Facebook des organisateurs et d’envoyer deux photographies par mail (une photo de l’encours et une photo de la création).

A bientôt

Comment rajeunir un vieux tabouret de bar ? En le transformant en une assise cosy pour le salon !

Aujourd’hui, tout est dans le titre. Je poursuis cette semaine l’aménagement de mon salon en essayant de débourser le moins d’argent possible et donc en utilisant ce que j’ai sous la main. Après la palette transformée en table basse, je vous présente donc le vieux tabouret de bar transformé… bah c’est toujours un tabouret ! Je l’ai simplement déplacé dans le salon. Et puis, je lui ai scié et peinturluré les pattes, je lui ai ajouté de la mousse sur le dos et je l’ai habillé d’une housse en crochet.

tabouret lebazardemilipuce.jpg

Un petit avant-après (je mets en légende qui et qui au cas où)

vieux tabouret de bar
avant
tabouret lebazardemilipuce
après

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vous explique la procédure.

Niveau matériel, j’ai utilisé :

  • un vieux tabouret
  • de la mousse
  • de la ouate
  • de la colle néoprène liquide
  • de la peinture (encore et toujours le fond d’un pot de chalky paint)
  • de la laine
  • un crochet
  • une scie sauteuse ou une scie
  • un couteau à pain (bah oui!!!)

Étapes

J’ai marqué les pieds et j’ai utilisé la scie sauteuse pour les découper.

 

J’ai peint (je vous épargne la photo au vu de la qualité des précédentes)

J’ai tracé sur la mousse la forme de l’assise et j’ai découpé à l’aide du couteau à pain. L’avantage du couteau à pain est double : il est grand et permet donc d’avoir une découpe droite, il est rigide (contrairement à une lame fine), ne se plie pas et donc il découpe droit.

Après le découpage, vient le collage. J’ai utilisé de la colle néoprène liquide qu’il faut déposer sur les deux supports. Un conseil : commencez par le support bois car la colle a tendance à être absorbée par la mousse et donc à sécher rapidement. Il faut ensuite déposer la ouate (ce n’est pas indispensable mais cela donne plus de moelleux à l’assise). Je l’ai bloqué sous la mousse mais vous pouvez l’agrafer sous le tabouret.

J’ai réalisé une housse avec de la laine (achetée chez Action, très douce et économique : 3 euros les 200 g). Elle se tricote avec des aiguilles de 9-10 mm et j’ai donc opté pour un crochet de 10 mm.

J’ai suivi les conseils trouvés sur le site chouettekit.fr et comme le diagramme proposé ne permettait pas d’obtenir un rond assez grand, j’ai poursuivi en augmentant régulièrement à chaque rang. Lorsque le diamètre du cercle fut suffisant, j’ai poursuivi sans réaliser d’augmentation autant de rang que nécessaire pour réaliser la bordure. J’ai crocheté des petites attaches et j’ai passé un fil pour resserrer la housse et bien l’ajuster.

Et voilà.

table-basse-et-tabouret-le-bazardemilipuce.jpg

Demain, je reprends les pinceaux pour redonner un coup de jeune à ce vieux meuble. Il a déjà perdu son plateau tout moche (je dois lui en fabriquer un tout neuf avec ce que j’ai en stock parce que j’ai mis tout le budget dans la peinture !)

meuble de mémé
Projet en cours…

J’ai enfin transformé ma palette Europe en table basse

Et oui, j’en parle depuis longtemps voire trop longtemps. En tout cas suffisamment longtemps pour avoir usé vos petits nerfs. Vous vous dites que fabriquer une table basse avec une palette, ce n’est franchement pas difficile, qu’il suffit d’un coup de ponceuse, de quelques vis et de quatre pieds. Vous vous dites d’ailleurs que la Milipuce est bien casse-pieds avec son histoire de palette. Et vous n’avez pas idée de la justesse de vos pensées. Oui, transformer une vieille palette en meuble n’a rien de sorcier. Oui, le matériel nécessaire est minime et la réalisation est un jeu d’enfants. Et oui, je suis grave casse-pieds… mais voilà, chercher des pieds pour ma table basse m’a littéralement cassé la tête.

 table basse lebazardemilipuce

Au début, j’ai totalement flashé sur les pieds en épingle dont le design simple et rétro correspond bien à mes envies du moment. Mais après plusieurs semaines de recherche sur internet, j’ai abandonné l’idée en raison du prix élevé des fameux pieds.

Les roulettes ? Pratiques et plutôt économiques mais mon canapé (qui est en fait un vieux lit en fer forgé) est très haut et ma table basse ne devait pas être… bah, trop basse. Et puis, les roulettes c’est trop basique, trop vu et revu alors j’ai dit « jamais de la vie ! ».  

Les petits pieds de la table de chevet récupérée aux encombrants ? Design parfait mais trop faiblards pour supporter une palette.

Après plusieurs mois de tergiversations, j’ai donc décidé de fabriquer mes propres pieds à l’aide de tuyaux en cuivre. De nombreux tutoriels fleurissent sur la toile ou dans les magazines et le résultat est franchement canon. Mais après une demi-journée de travail, le rendu de mes pieds ne me plaisait pas et puis j’avais de sérieux doutes quant à leur capacité à supporter le poids de la palette (c’est qu’elle est lourde la bestiole !).

Comme j’avais déjà investi une petite somme dans l’achat des matériaux (tuyaux, raccords et peinture), j’ai donc fait le tour de la maison pour dénicher un plan B. Et j’ai repensé aux 6 pieds ronds donnés par un gentil collègue qui allait les mettre à la benne !

J’ai donc acheté des roulettes (mouais, sans commentaire). Et pour ré-hausser encore l’ouvrage, j’ai découpé des tasseaux (ah, la scie sauteuse, j’en suis amoureuse !) et j’ai tout fixé aux quatre coins de la palette. Alors, mon homme aka chéri d’amour m’a donné un coup de main en dénichant les plaques de fixation et les vis qui vont bien et comme il semblait à fond, il a même eu le droit de jouer du tourne-vis et des muscles (ah mon homme…).

table basse le bazar de milipuce
La récompense de l’homme pour son travail

Au final, j’ai utilisé :

  • une palette Europe (80*60 cm)
  • de la teinte à effet
  • une plaque d’aggloméré (80*60)
  • des vis et un tourne-vis
  • de la peinture blanche
  • de la chalky paint (gris foncé)
  • 4 roulettes (hum hum hum)
  • une ponceuse, une perceuse et une scie sauteuse

 

Alors, je vous décris rapidement les étapes.

  • Poncer, poncer et poncer encore votre palette. La ponceuse électrique est un sacré allié mais évidement, certaines parties difficiles d’accès nécessitent un ponçage manuel.
  • Peindre, peindre et peindre. J’ai utilisé une teinte à effet de la marque Libeiron.  L’avantage est que le bois peut encore être poncé après application du produit.

 

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  • Découper les coins de la plaque d’aggloméré en suivant la forme de la palette

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  • La peindre en blanc et après séchage, passer une ou deux couches de teinte à effet
  • Fixer la plaque et la palette ensemble à l’aide de vis adaptées (je vous conseille de pré-percer).
  • Fixer les pieds et les roulettes.

table lebazardemilipucedétails pieds de table basse le bazar de milipuce

 

Il me reste à fabriquer de petits paniers de rangement. J’ai commencé hier la transformation d’un vieux tabouret pour ajouter une assise dans le salon. Je vous en parle très vite car les vacances ont fait leur effet et je me sens de nouveau en forme pour avancer sur tous mes projets !

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A bientôt

Avant les vacances, une petite sélection des DIY réalisés ces derniers mois

Vendredi, chéri d’amour, poulettes 1 et 2 et moi-même nous partons dans les Alpes pour une semaine de détente (pas de caddie à remplir, pas de repas à préparer et zéro ménage à faire… le rêve). En attendant la publication d’un nouveau tutoriel, je vous fais une petite sélection de mes précédents DIY et pour que cela soit un peu plus amusant, je le fais sous le mode « le plus ».

DIY « le plus rose flashy qu’un flamant rose qui s’est gavé de crevettes et frôle l’indigestion » alias La veilleuse Princesse Poppy

veilleuse princesse poppy

J’ai réalisé cette veilleuse dans le cadre du Projet DIY #20. Tout est parti d’une simple boîte de Vanish et j’ai déniché les autres composants en fouillant le grenier et les placards. Un DIY très simple et peu coûteux et qui a ravi les 2 poulettes.

 

 

 

DIY « le plus Je s’appelle Groot que le Je s’appelle Groot original » alias Baby Groot

 

 

En bonne geekette, je craque littéralement sur le personnage de Groot. Pour lui rendre hommage, j’ai appris à crocheter. Après des semaines de galère et d’agacement, mon baby Groot a vu le jour. Je le trouve trop chou malgré ses petits défauts.

J’ai utilisé le tuto de 53Stitches (pour retrouver le lien vers le tuto original et découvrir ma traduction, cliquez ici).

Depuis la réalisation de baby Groot, le crochet est entré dans ma vie.

DIY « le plus fait à l’arrache » alias l’embout à crayon et le porte-clefs au crochet

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C’est désormais de notoriété publique (bon en tout cas pour ceux et celles qui me côtoient ou ont l’habitude de me lire) je ne sais pas faire les choses de manière organisée et anticipée. Les cadeaux de fin d’année pour la maîtresse et l’ATSEM n’ont pas échappé à la règle. Au final, je suis plutôt contente de mes petites réalisations adaptées d’un tuto de Cologurumi… Bon j’avoue que je dois vraiment m’améliorer niveau broderie !

DIY le plus « ne vous fiez pas à mes couleurs chatoyantes et mon look frais, à l’intérieur je souffre et ma vie n’est que désespoir » alias Tawashi ananas

 

 

Mes piètres talents de brodeuse se sont encore abattus sur un pauvre amigurumi qui n’en demandait pas tant. Ses yeux de chien battu sous tranquillisants ne sont pas volontaires. J’aurai pu les refaire mais j’ai décidé d’assumer. Au final, je l’adore malgré son regard torve qui me fait atrocement culpabiliser… à tel point que mon ananasponge n’a encore jamais rencontré une assiette sale ou un filet de liquide vaisselle. Elle semble déjà tellement en baver dans la vie, je ne veux pas la faire souffrir inutilement, non mais !

DIY « toi + moi » …+ lui + elle + tous ceux qui sont seuls …alias les broches duos

broches duo lebazardemilipuce

Le plastique dingue aura occupé une grande partie de ma vie pendant plusieurs semaines. J’ai publié beaucoup de tutos sur Ouiaremakers dans le cadre du Challenge Plastique Dingue proposé en partenariat avec Graine Créative. J’ai choisi de parler uniquement de mes petites broches duos car c’est le DIY le plus simple et qui est déclinable à l’infini.

DIY « les plus j’enfile des perles, je galère et alors »

Après le crochet, j’ai relevé un nouveau défi : apprendre à tisser.

J’ai opté pour un kit tout prêt et évidemment, j’ai bien galéré (récit de mes déboires ici). Mais comme pour le crochet, j’y ai pris goût et j’ai récidivé en me fixant un autre défi : créer mon propre diagramme pour réaliser mes créoles perroquets. Présentées dans le cadre du Challenge par équipe de Ouiaremakers, elles ont remporté le deuxième prix du Concours Tropical de Créavéa. Surprise, heureuse, étonnée, contente, incrédule, au bord de la crise d’hystérie : voilà mon état durant les 30 secondes qui ont suivi la lecture des résultats.

 

 

 

DIY « le plus aimé par chéri chéri d’amour  » alias le décapsuleur mural en palettes 

 

 

 

Pour la fête des pères, il me fallait être à la hauteur. J’ai trouvé l’idée un peu tardivement et comme j’ai commencé à réaliser le décapsuleur la veille du jour J, chéri chéri a grillé ce que je faisais. Effet de surprise : zéro ! Du coup, papa d’amour a pu donner son avis et comme la frustration de ne pas aller au Hellfest était grande, il a commandé un décapsuleur mural aux couleurs du festival.