Challenge des Makers : le bilan

Fin du Challenge des Makers aujourd’hui… un bilan s’impose.

En mai dernier, l’équipe de Ouiaremakers annonçait le lancement du premier challenge de DIY en équipe. Une chouette idée sur le papier et qui s’est avérée géniale dans la réalité.

1.Une avalanche d’idées

Au final, 122 tutoriels ont été publiés dans le cadre de ce défi créatif. Il y en a pour tous les goûts : décoration, couture, travail du bois, paper craft, et j’en passe. Certains tutos sont très abordables et d’autres plus techniques mais tous sont très bien expliqués (les indications doivent être illustrées et les makers peuvent joindre des fichiers pour faciliter la réalisation de leurs tutos).

J’ai découvert des créateurs de génie, des idées superbes et des techniques simples et originales que j’utiliserai un jour.

Je vous présente mon top 3 (alors évidemment les tutos de mon équipe sont hors classement) :

Des idées simples, pratiques et jolies… reproductibles par tous et très peu coûteuses.

2. Des rencontres enrichissantes

Tout d’abord, il y a les copines du Gang Tropical.

 

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Je vous les représente :

  • Adeline du blog « Mon p’tit trésor »  aime les chats, la feutrine et réaliser des DIY trop mignons.
  • Laurie du blog « Un trésor dans mon placard » est la reine de l’upcycling et la co-fondatrice de la boutique en ligne  « Graines de Paillettes » avec ….
  • Elodie qui est designer graphique et une vraie touche-à-tout. Elle a réalisé notre superbe logo.
  • Camille aka Mme frida est une bretonne expatriée à Paris, fan de DIY et qui y consacre ces week-ends !

C’était génial de pouvoir échanger autour de nos projets et de découvrir nos univers respectifs.

Le concours a été l’occasion de découvrir d’autres blogueuses talentueuses (bien que dans des équipes concurrentes, comme quoi je ne suis pas une compétitrice dans l’âme) comme  une fille à frange, Lucie de Après la flemme ou Adeline de Alie_Graphie.

3. Un challenge personnel

Plus jeune j’étais dans les dernières sélectionnées pour la composition des équipes en EPS (et ce même lorsque ma meilleure amie était capitaine d’une équipe, c’est pour dire mon degré de nullité de l’époque!). J’en garde un petit traumatisme (mouais, elle est triste ma vie). Donc quand je dois la jouer collective, je me mets grave la pression (déjà que lorsque je suis seule c’est la cata !). J’avais vraiment à cœur d’être à la hauteur. Ce challenge en équipe m’a donc poussée à me dépasser dans le choix, la conception et la réalisation de mes créations mais aussi dans la publication des tutoriels (photos, documents explicatifs,…). J’ai essayé de faire le maximum pour faire honneur à mes partenaires.

4. Nos publications

Je suis hyper fière de nos créations, de nos idées et du rendu final.

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Abat-jour anananas par Camille
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Coupelles à bijoux par Adeline
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Bannière toucan par Laurie
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Broche pastèque par Elodie
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Coussin par Adeline
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L’ananasponge par moi
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BO perroquet par moi

Et voilà, l’aventure s’achève mais d’autres défis nous attendent (dont le challenge plastique dingue qui me rend dingue !).

Tous nos tutos sont disponibles d’un simple clic ! Pour voter sur le site, il faut créer un compte utilisateur (gratuit et très rapide. attention à ne pas oublier de valider le mail de confirmation!).

 

A bientôt les amis

 

 

 

Comment fabriquer un décapsuleur mural avec des palettes ?

Bonjour tout le monde !

Fidèle à mes bonnes habitudes, j’ai réalisé un petit DIY à l’arrache et avant de vous le présenter je vous raconte la vie de chéri-chéri.

Chéri-chéri et ses amis ont pendant trois ans désertés leur foyer respectif pour migrer vers l’ouest et s’adonner à des rituels étranges faits de musique qui joue fort, de beaucoup de rigolades viriles et de bières, de bières, de bières et encore de bières (à consommer avec modération tout de même). Cette année encore, l’appel du Hellfest était fort, très fort. Mais chéri-chéri a écouté la voix de la raison et de son compte en banque… Et il passe donc ce week-end de la fête des pères à la maison, tranquillou-bilou.

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Pour le réconforter, j’ai décidé assez tardivement de fabriquer un  décapsuleur mural. Et qui dit à l’arrache, dit forcément grand n’importe quoi ! Entre le matériel étalé partout, la scie sauteuse et la ponceuse qui font autant de bruit que trois groupes de métalleux et les poulettes qui ne font pas diversion, chéri-chéri a facilement deviné ce que je préparais.  Du coup, je lui ai demandé son avis pour les finitions. Et là, la nostalgie du festival (alimentée par les images diffusées sur internet) a guidé ses choix. Alors pour lui faire plaisir, j’ai suivi ses indications à la lettre.

Au final, il est plutôt sympa ce décapsuleur mural et puis chéri-chéri est ravi (je lui demande si ça lui plaît toutes les cinq minutes et il finit par me dire « mais oui » ce qui en langage de chéri-chéri veut dire qu’il est méga-content…enfin je crois).

Matériel

  • du bois de palette ou autre
  • de la colle à bois
  • un décapsuleur mural (j’ai trouvé le mien sur amazon. Vendus par 2, un peu cher malgré la super promo, mais livraison très rapide et la qualité est top)
  • deux coins en métal (environ 7 euros les 2, visserie non comprise)
  • deux attaches murales (trouvées dans mon bazar)
  • de la peinture
  • pochoir réalisé avec du film adhésif transparent
  • du masking tape
  • des vis

Étapes

Découper la palette pour obtenir 2 planches de 30 cm et 2 planches de 20 cm

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Coller les 2 grandes planches ensemble puis coller l’une des petites planches en haut.

 

Je vous montre les détails et l’idée générale

Il est temps de passer à la peinture

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puis de sortir les tourne-vis

 

Pour le motif, j’ai réalisé un pochoir avec du film adhésif

 

Il reste à le fixer sur le mur !

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DIY crochet : l’ananasponge ou tawashi tropicale

Bonsoir/ bonjour

en cette semaine ensoleillée, j’ai ressorti le crochet et la laine qui gratte. Pas de gilet-serpillère à la Thérèse mais une éponge à récurer la vaisselle ! Une éponge au crochet ? Et bah oui, c’est la grande mode (peut-être depuis longtemps mais je le découvre seulement maintenant).

La tawashi est une éponge crochetée ou tricotée. Des centaines de tutos sont disponibles sur le web.

Tawashi traditionnelles ou fantaisistes, tout est permis !

La preuve avec mon éponge « ananas » dont vous pouvez trouver le tutoriel ici.

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Ces dernières semaines, je me suis dispersée façon puzzle (Projet DIY, KCD,…) mais j’ai enfin pu finir ma première tawashi motivée plus que jamais par le  Challenge des Makers.

 

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Je n’ai pas encore eu le cœur de salir ma petite éponge. Elle est tellement mignonne avec son regard triste voire un peu blasé. Mais je suis certaine qu’elle est apte au récurage.

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Pour info, la marque Rico a sorti une gamme de laines abrasives pour bien grattouiller les fonds des casseroles. Et pour que la vaisselle ne soit plus une corvée, les coloris proposés sont absolument géniaux : rose flashy, vert qui pétille, jaune waouh (ce sont mes appellations… vous en déduisez que je ne bosse pas dans le marketing !). Dans le magasin, j’ai failli une pelote de chaque couleur mais je suis restée raisonnable.

 

 

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N’hésitez pas à voter pour notre équipe sur le site Ouiaremakers.com

 

DIY et Kesi Crazy Days : un bracelet « marin x printemps »

Bonjour la compagnie,

dans mon précédent article (disponible ici d’un simple clic-clic de souris), je vous annonçais ma participation au KCD. Encore un truc de blogueuse dingo me direz-vous ? Non, non, rassurez-vous. Le challenge « Kesi Crazy Days » est un marathon du DIY  organisé par la marque Kési-art. Le principe est simple : un thème, une création et le partage du processus créatif en cinq photos (inspiration, matériel, lieu, encours et création). Tout se déroule sur Instagram et comme pour tout défi, une récompense attend quatre participants (3 par tirage au sort et 1 choisi par le jury).

Au début, le thème « marin » ne m’a pas beaucoup inspiré. Je vous liste mes idées :

  • une ancre en perles miyuki montée en broche…
  • et puis c’est tout !

Super internet est venu à la rescousse ! En tapant « bijoux marin » sur mon clavier, j’ai trouvé un tuto très simple sur le site prima.fr.

Pour le matériel, j’ai fait avec les moyens du bord ce qui m’a éloignée du thème : pas de bleu, de blanc, de rouge ni de rayures mais du tissu liberty. Alors j’ai tout de même utilisé de la cordelette ambiance filet de pêche, une breloque en forme de tortue pour ne pas trop prendre le large et un nœud de Carrick.

 

Allez, moussaillons, je vous montre mon bracelet « marin x printemps » !

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Les différentes étapes

 

Le résultat

 

Ce fut un réel plaisir de participer à ces KCD ! La durée de ce challenge est idéale : les 5 jours sont passés très vite et mes neurones n’ont pas eu le temps de surchauffer (n’est-ce pas Projet DIY ?).

J’ai aussi découvert des créatrices talentueuses et de superbes DIY. Je vous recommande chaudement de faire un tour sur Instagram (#KCDMARINCREA).

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Le Puy-du-fou…la plus belle journée de la vie de Poulette numéro 2

Comme l’indiquait mon compte Instagram, samedi dernier c’était le Jour 3 des Kesi Crazy Days (j’y consacrerai un article dans très peu de temps !) et la sortie au Puy-du-fou en mode comité d’entreprise (donc entièrement organisée, entièrement gratuite, entièrement Youpi youpi eh).

En partant direction la Vendée, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Déjà en bonne nulle en géographie, je n’avais qu’une vague idée de la localisation du Puy-du-Fou. Et puis, je n’avais jamais vu de reportages sur le sujet et je n’avais pas fait de recherches sur internet (entre le Challenge des Makers, le Projet DIY et les KCD, je n’ai même pas eu le temps d’y penser). J’ai fait confiance aux petits chanceux autour de moi qui avaient déjà tenté l’aventure et dont les avis étaient tous très mais alors très positifs !

Le voyage étant organisé de A à Z, j’ai mis mon cerveau en pause. Mon unique mission : préparer les sacs à dos et le pique-nique du soir ! Mon unique préoccupation : la météo. Et là, c’est mitigé. Mon smartphone annonce de « rares averses » le matin et du « soleil » l’après-midi. Autant dire qu’il faut parer à toutes les éventualités… et se charger comme des bidets.

Comme je suis en mode tuto 24h/24, je commence mon débriefing sous cette forme.

Matériel

  • un bus ou tout engin roulant/volant pour vous rendre sur les lieux
  • une glacière (achetée la veille à la fermeture du supermarché. et oui, je suis méga-organisée !) si vous pique-niquez
  • des aliments à votre goût (pour remplir la glacière)
  • des sacs à dos
  • des bouteilles d’eau
  • des collations
  • des vêtements pour vous protéger (casquettes, lunettes de soleil, imperméables,…)
  • de la crème solaire
  • des chaussures confortables (et antidérapantes)

Étapes

Le trajet

Rendez-vous à 5h30 pour un départ à 6h. Comptez 3h30 de trajet sans pause (évidemment en fonction de votre point de départ ce temps peut varier).

Petite réflexion de maman : Bizarrement, le réveil des deux miss s’est fait sans cri ni menace et elles se sont préparées façon Arturo Brachetti. Ça peut être une piste pour tous les parents : demandons la création d’une école Puy-du-Fou pour mettre un terme aux prises de tête matinales (ça marche aussi avec le zoo, la visite de château, les parcs d’attraction, une journée à la mer…ça semble moins efficace avec les ados).

6h30 :  Ambiance « collégiens en goguette » au fond du bus. Ça discute beaucoup, ça rigole encore plus. Nous sommes peu nombreux et nous pouvons nous étaler.

Évidemment, tout le monde s’est levé à 4h du matin et un petit roupillon s’impose. Du coup, le trajet passe assez vite sauf pour le copain dont le système vestibulaire et l’estomac ont décidé de se prendre la tête.

9h : Une petite pause sur une superbe aire d’autoroute (des espaces verts de folie), un chocolat chaud pour se requinquer et nous prenons de nouveau la route. Nous sommes tout proches du parc.

Un peu avant 10h : arrivée au Parc.

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Le soleil est au rendez-vous et seuls quelques nuages gris gâchent le bleu du ciel. Et là, c’est le gros dilemme : prendre les coupe-vents ou ne pas les prendre ? Je laisse mon pull dans le car mais je prend mon coupe-vent (un poil encombrant) et ceux des filles (que je bourre dans mon sac à dos). Bien sûr, numéro 1 fait la tête lorsque je lui impose de prendre son gilet et numéro 2 me largue le sien vite fait (je tasse dans le sac à dos façon Mary Poppins). Dans les rangs, certains se plaignent d’avoir oublié leurs lunettes de soleil ou leur couvre-chef. Autour de moi, c’est ambiance nu-pieds, débardeur et pantacourt. Ma parka autour de la taille, je me dis que je vire « veille mémère toujours en stress » et numéro 1 semble penser comme moi.

Nous arrivons pour l’ouverture et il y a déjà du peuple. Avant d’entrer, les personnes munies de sac à dos passent à la fouille et les autres sous les portails. C’est plutôt rapide. A l’entrée, pas d’attente car nous avons nos billets.

Vers 10h, nous sommes dans la place…Les choses sérieuses peuvent commencer.

Le choix du programme

Notre petite troupe se met très rapidement d’accord sur ce que nous voulons voir.

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Après un rapide coup d’œil au horaires des spectacles et au plan, le verdict tombe : ce sera Le secret de la lance, Mousquetaire de Richelieu et le bal des oiseaux fantômes. Le rendez-vous au restaurant est prévu à 13h15.

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Les spectacles (partie 1)

En extérieur ou à l’intérieur, les infra-structures sont énormes et l’organisation est digne d’un mécanisme d’horlogerie.

Nous n’avons pas rencontré de difficultés : pas ou peu d’attente pour entrer dans les salles et une fois, installés nous profitons des petites animations prévues pour faire patienter les spectateurs (et franchement, ça marche très bien! Et ça met vraiment dans l’ambiance!).

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Le secret de la lance

Les trois spectacles de cette matinée étaient … grandioses ! La mise en scène est à tomber et les surprises sont réelles ! Je ne vais rien vous révéler des histoires ou de la scénographie car il faut vraiment se laisser prendre et emporter. Pour vous donner un petit aperçu, je vous dirai juste que j’ai prononcé « oh la vache » plus d’une fois !

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Le bal des oiseaux fantômes

Quelques conseils :

  • Pour le bal des oiseaux fantômes, mieux vaut être un peu en avance et avoir la garantie d’être placés dans les gradins… et Messieurs, portez une casquette !
  • Pour tous les spectacles, respectez les consignes de sécurité. J’ai oublié de désactiver mon flash lors d’un spectacle en intérieur et j’ai été rappelée à l’ordre (gentiment) mais j’en reste confuse encore deux jours après (ah ce surmoi !). Et pour tous les spectacles dans lesquels des acteurs à plumes et à poils sont de la partie, les directives données ne sont pas superflues.

Le repas

Nous avons mangé au restaurant « Le relais de la poste » situé dans le village du XVIIIème siècle.

Le menu est unique pour un prix plutôt raisonnable (26 euros 50 pour les adultes, vin rouge compris, et 12 euros 90 pour les enfants). Le repas est animé et vous pouvez demander un petit supplément dans les assiettes pour les puits sans fond.

Menu :

  • rillettes et salade composée
  • manchons de canard, saucisses et maugettes / nuggets et potatoes pour les bout d’choux
  • brioche façon pain perdu et pomme caramélisée
  • café

Tout était très bon… et certains auraient bien voulu du rab. Malheureusement, c’était le dernier service et les gourmands n’ont pas pu être satisfaits.

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Miam !

L’animation est assurée par une troupe de chanteurs : deux petites chansons entre chaque plat… ni trop ni trop peu ! Les voix sont belles… vraiment prenant.

Conseil : si votre temps est compté, préférez un casse-croûte maison ou dans un stand de restauration rapide (la formule sandwich + dessert + boisson est à 8 euros 50 pour les adultes et 6 euros 50 pour les enfants de moins de 13 ans).

Les spectacles (partie 2)

En sortant, nous reprenons contact avec le monde : dehors, c’est le déluge… Les ponchos en plastique siglés Puy-du-fou ont envahi les allées du parc.

Vous me croyez si je vous jure que je n’ai pas dit à mes filles (et surtout à numéro 1 aka mademoiselle pré-ado) « c’est kiki avait raison de prendre les k-ways et les gilets, hein ? c’est qui ? » ???

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La gadoue, la gadoue, la gadoue… et mes adidas d’amour !

Avec toute cette eau et les copains pas vraiment équipés pour faire face, nous décidons de nous réfugier dans deux attractions abritées : Les amoureux de Verdun et l’odyssée du Puy-du-Fou. Mention spéciale aux amoureux qui immerge les visiteurs dans une tranchée durant la Première Grande Guerre… Nous sommes tous ressortis très émus. J’ai dû faire la traversée au pas de course car numéro 2 n’a pas beaucoup apprécié les effets sonores et l’ambiance flippante des lieux. D’ailleurs, des employés du parc préviennent à l’entrée de l’attraction que les enfants sensibles doivent s’abstenir.

La pluie ne se calmant pas, nous décidons d’être courageux et de reprendre le chemin des spectacles car nous tenons absolument à voir Les vikings et Le signe du triomphe. Nous avons quand même fait un passage au stand pour acheter un poncho en plastoc pour monsieur (le parapluie sorti à l’arrache de la voiture était finalement resté dans le car…vous me croyez si je vous dis que je ne m’en suis pas vanté). La pluie a cessé dès qu’il l’a enfilé mais il a pu se réchauffer un peu en se protégeant du vent.

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Les sacs à poubelles sont de sortie !

Les deux derniers spectacles de la journée sont à la hauteur de ceux de la matinée. Impossible de vous dire lequel j’ai préféré ! Alors bien sûr j’ai adoré « Mousquetaire de Richelieu » parce que les chorégraphies étaient splendides. Mais chaque spectacle est très bien conçu, sans temps mort et comportant moult surprises. Les scènes finales sont tout simplement bluffantes !

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Elle vit le truc…
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ça réchauffe !
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Quand tu pestes contre les herses…
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et que finalement, tu les aimes bien.

Conclusion

Les avis étaient unanimes. Cela valait le déplacement ! ET MÊME UN DÉPLACEMENT SUPPLÉMENTAIRE !

Poulettes 1 et 2, l’homme et moi-même, nous avons décidé d’y retourner l’année prochaine et sur deux jours afin de profiter au maximum. Nous avons très envie d’assister aux spectacles nocturnes et aussi de profiter de l’environnement du parc et des différentes ambiances proposées.

Bref, nous sommes au taquet… vivement l’année prochaine pour ce qui s’annonce être les deuxième et troisième meilleures journées de la vie de ma petite poulette.

Je vous donne quelques indications utiles (qui figurent ou ne figurent pas sur le site du parc).

Vous ne pouvez pas voir tous les spectacles sur une seule journée (même Flash, Wonderwoman ou Spiderman n’y arriveraient pas !).

Les horaires sont respectés à la seconde près. Ne comptez pas sur un retard de deux-trois minutes pour pouvoir vous glisser sur un siège, vous ne les aurez pas ! Alors, organisez-vous bien pour optimiser votre temps. Nous avons visité le parc le 3 juin c’est-à-dire pendant une période d’affluence modérée. En pleine saison, les files d’attente seront peut-être plus longues (des panneaux indicatifs sont disposés devant les attractions. Au-delà de la pancarte, tu ne rentres pas !).

Vous pouvez louer des poussettes (pour 6 euros), déposer vos sacs, casques ou autres à la consigne (6 euros), fliquer vos enfants à l’aide de balises GPS (6 euros également). Les boutiques vendent des casquettes et de la crème solaire (mais bon ce serait dommage de dépenser votre argent pour ça).

Dans la liste de mon matos, figurent des chaussures confortables et ce n’est pas pour la blague. Sur le site, vous allez marcher beaucoup, monter et descendre des marches par dizaine. Alors, on zappe les talons hauts (même les compensés !) ou les sandalettes qui chauffent la plante des pieds au bout de 2 km. On enfile ses plus belles belles baskets (ou s’il fait vraiment chaud, des sandales de marche). On évite aussi les semelles lisses (nous avons été témoin d’une petite glissade heureusement sans gravité mais bon la petite dame était un peu vénère quand même).

Je conclue par ces mots : le Puy-du-fou a obtenu une flopée de titres honorifiques et cela est amplement mérité ! Et sinon, je vous ai dit que j’ai bien fait de prendre les K-Ways ?